Anne Lambert

Anne Lambert

Anne Lambert

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Anne LAMBERT

Contact : anne.lambert@ined.fr 

Anne Lambert est sociologue et chargée de recherche à l’Ined, chercheuse associée au Centre Maurice Halbwachs (CMH).

Thématiques d’encadrement

Travail ; Travail domestique ; Espace domestique ; Logement ; Famille ; Couple ; Inégalités ; Genre et rapport social de classe ; Méthodes mixtes

Enseignements

Aucune enseignement donné en 2023-2024.

Activités de recherche

Plus d’informations sur le site de l’Ined.

Stéphanie Latte Abdallah

Stéphanie Latte Abdallah

Stéphanie Latte Abdallah

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Stéphanie LATTE ABDALLAH
Laboratoire : CéSor

Contact : stephanie.latte@ehess.fr

Stéphanie Latte Abdallah est directrice de recherche au CNRS, affiliée au CéSor.

Thématiques d’encadrement

Anthropologie politique et histoire contemporaine du genre, des féminités et des masculinités – Moyen-Orient et sociétés arabes ; Mobilités et frontières ; Violence, conflit et mondes carcéraux ; Mobilisations et subjectivités politiques ; Féminismes séculiers, islamiques ; Engagements citoyens et alternatifs, écologie et utopies ; Approches sonores et visuelles

Enseignements

La liste des enseignements donnés par Stéphanie Latte Abdallah en 2023-2024 est disponible ici.

Activités de recherche

Plus d’informations sur le site du CéSor.

Sarah El Couhen

Sarah El Couhen

Sarah El Couhen

Portrait en noir et blanc de Sarah El Couhen
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Sarah EL COUHEN

Laboratoire : CéSor

E-mail : sarah.el.couhen@ehess.fr ; sarah.elcouhen@uniroma1.it

Sarah El Couhen est doctorante boursière en histoire, anthropologie et religions de l’université La Sapienza de Rome, en co-tutelle à l’EHESS.

Titre de la thèse

Féminismes islamiques post-2010 et imamat féminin en Europe : réappropriation des espaces de culte, productions discursives et mobilisations transnationales

Sous la direction de Stéphanie Latte Abdallah (CNRS/EHESS) et de Matteo Aria (Université La Sapienza de Rome)

A partir d’un terrain multisitué en Italie et en France, ce projet de thèse propose de poursuivre l’analyse nécessaire des hybridations des féminismes islamiques. Mobilisant des outils pluriels, des espaces diversifiés et des moyens de diffusion connexionnistes, ces nouvelles actrices participent de la transformation de ces mouvements et de leur adaptation à des sociétés de plus en plus globalisées. Au carrefour de plusieurs disciplines, ce projet expérimentera les prolongements de ces féminismes en questionnant l’apport des gender studies, du numérique et des travaux sur les conversions à des contextes mutants.

Mariam Sharif

Mariam Sharif

Mariam Sharif

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Mariam SHARIF

Laboratoire : CMH, IMAF

E-mail : mariamfive@gmail.com 

Mariam Sharif est doctorante à l’EHESS, au Centre Maurice Halbwachs (CMH), et est affiliée à l’Institut des mondes africains (IMAF), après avoir obtenu un master en sociologie et anthropologie sociale de l’Université de Khartoum, avec une bourse de l’Institut Christian Michelsen de Bergen. Elle est membre de la Social Science in Humanitarian Action Platform (SSHAP) et du Reproductive Health Working Group (RHWG) dans la région du Moyen-Orient. Ses principaux intérêts de recherche portent sur la santé en tant que profession, la gouvernance de la santé et les épidémies/endémies.

Discipline de recherche : Anthropologie médicale – Genre – Histoire médicale.

Titre de la thèse

Pratiques de soins à l’époque coloniale et postcoloniale, avec une attention particulière à la profession d’infirmière sous le condominium anglo-égyptien

Sous la direction de Saba A. Le Renard et d’Elena Vezzadini

Plus d’informations sur le site du CMH.

Ninon Alaux

Ninon Alaux

Ninon Alaux

Portrait en noir et blanc de Sarah El Couhen
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Ninon ALAUX

Laboratoire : Iris

E-mail : ninon.alaux@ehess.fr 

Ninon Alaux est doctorante en sociologie à l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (Iris).

Titre de la thèse

Les petites filles apprennent-elles à ne pas se défendre ? Rapport à la violence et socialisation de genre

Sous la direction d’Isabelle Clair

Cette thèse porte sur la socialisation de genre des petites filles et ses liens avec la construction de leur rapport à la violence. Il s’agit de mieux comprendre comment les filles tendent à intérioriser un rapport genré à la violence, qui participe à les placer dans une position de vulnérabilité.

Au travers d’une enquête ethnographique au sein des familles de petites filles ayant entre 5 et 9 ans, je souhaite ainsi investiguer tout ce qui, dans leur vie ordinaire, tend à les socialiser à la non-violence et / ou au rejet de la violence.

Plus d’informations sur le site de l’Iris.